Pour cette année 2017, c'est notre copain Gerard Theilmann qui prend le relais pour organiser notre rencontre.
Nous nous retrouverons donc du 4 au 8 septembre à Saint Michel Chef Chef au camping du bord de mer qui est l'un des points de chûte de note GO.
Fidéle à sa réputation notre GEGE nous a concocté un programme hors-pair.
Et comme chaque année nous avions hâte de nous retrouver, de visiter la région d'acceuil et surtout de passer de bons moments ensemble.

Voici donc le programme :

Lundi 4 septembre aprés midi
Arrivée et installation au camping du bord de mer 16h/19h
Installation dans les mobilhomes.
Promenade bord de mer
19h-21h dîner " auxpetits chefs"

Mardi 5 septembre : Saint Nazaire
Petit déjeuner 9h-10h
10h- 10h30 voyage voiture
11h-12h30 visite musée "escale atlantique"
12h30-14h repas
14h-16h visite des chantiers navals
16h-18h déhambulation sur la " promenade des américains"
19h-21h dîner en bordure du port
21h retour

Mercredi 6 septembre : Journée à Nantes
Petit déjeuner 9h-10h
10h- 10h45 voyage voiture
11h visite des "machines"
12h Ballade sur le dos d'un éléphant
13h 14h30 repas en bord de Loire
Promenade sur le quai des esclaves
16h visite du croiseur ou château des ducs de Bretagne
18h-19h visite quartier de la gare et le lieu unique
19h-21h repas sur place
21h 21h45 retour

Jeudi 7 septembre : La Brière
9h-10h Petit déjeuner
10h- 10h45 voyage voiture
La briere
Visite des canaux
Repas
Retour calèche
15h retour
16 h Arrêt au musée maritime de st mindin
17h retour
19h-21h repas crêperie en bord de mer

Vendredi 8 septembre
9h -10hPetit déjeuner
Libération des mobile home
11h retour vers chez vous ou ceux qui veulent départ différé
Avec arrêt à Pornic, visite et repas sur le port

Un peu d'histoire

Et pourquoi : Chef-Chef ?
Ne dites pas que personne ne s'est pas déjà posé la question. En fait, deux versions différentes tentent d’expliquer l’origine de ce nom peu ordinaire.
Saint-Michel-Chef-Chef, viendrait de « Chevesché », nom porté par « la Pointe Saint-Gildas » jusqu’en 1750. L’autre explication possible serait que le Chef chevecier, gardien des biens de l’Église, résidait dans une chefferie à Saint-Michel, on disait alors Saint-Michel-du-Chevecier-Chef. Nom qui serait peu à peu devenu le très connu : Saint-Michel-Chef-Chef… Peut-être un peu plus facile à prononcer.
Un peu d’histoire
Saint-Michel a « hébergé » des célébrités. En effet après avoir eu plusieurs propriétaires successifs, l’église Saint-Michel, a appartenu au fameux Gilles de Rais (ou Retz) qui fut une grande figure de la guerre de Cent Ans avant de tomber dans la décadence et la débauche, jusqu'à être condamné par un tribunal ecclésiastique pour entre autres, les meurtres de trente petits enfants. Ce qui fait de lui le plus grand tueur en série de l'histoire de France mais aussi pour certains auteurs, le non moins fameux « Barbe bleue ».
Saint-Michel-Chef-Chef, situé au fond d'une baie entre la pointe Saint-Gildas et Saint-Brevin-les-Pins, est composé de deux stations : Saint-Michel et Tharon-Plage.
Le nom de Tharon vient de Tharar et date de la fin du IXe siècle. À cette époque, Thar, chef d'une horde normande aborda dans les dunes (situées à Tharon-Plage), dressant son camp dans les bois il l’appela Tharar. Le temps a adouci ce nom barbare qui est devenu Tharon.
Le patrimoine de Saint-Michel permet de retrouver les traces de ce passé, et l’Office de Tourisme vous en fera découvrir les détails.
Depuis longtemps la source de Comberge a contribué à développer la vocation touristique de Saint-Michel-Chef-Chef, vocation qui n’a jamais été démentie depuis, puisqu’en période estivale la population est presque multipliée par dix.
Saint-Michel-Chef-Chef jouit aussi d'une notoriété internationale grâce à la présence de la biscuiterie produisant les célèbres Galettes Saint-Michel. L'entreprise née au début du XXe siècle, sur l'initiative de Joseph Grellier, boulanger local, régale toujours petits et grands.
En 2008, Saint-Michel-Chef-Chef comptait 4 364 habitants, appelés les Michelois (soit une augmentation de 37 % par rapport à 1999). En 2017 la population est estimée à 5000 habitants

Le jour de l'arrivée

Mardi 5 septembre

Journée saint Nazaire

Saint-Nazaire est le chef-lieu d'arrondissement du département de la Loire-Atlantique dans la région Pays de la Loire.
Historiquement la ville fait partie de la Bretagne. Avant la création des départements, Saint-Nazaire relevait du Duché de Bretagne, puis du Parlement de Bretagne à partir de 1532 (Union de la Bretagne à la France). Sur le plan religieux, Saint-Nazaire relève de l'évêché de Nantes depuis le Moyen Âge.
La ville est la capitale de la construction navale en France, les Chantiers de l'Atlantique de Saint-Nazaire sont l'un des plus grands sites du monde, à construire des grands navires de plus de 300 mètres. Le plus gros paquebot au monde actuel, le Symphony of the Seas, a par ailleurs été construit à Saint-Nazaire.
Sur le plan géographique, Saint-Nazaire est située dans le massif armoricain, au nord de l'estuaire de la Loire et au sud de la façade maritime de la Bretagne.
Saint-Nazaire constitue avec Nantes un pôle économique important du Grand Ouest, notamment grâce aux infrastructures portuaires du Port autonome de Nantes-Saint-Nazaire, mais aussi par le poids important du secteur industriel avec les constructions aéronautique et navale.
En 2015, la commune compte 69 993 habitants. Elle est au cœur de l'unité urbaine de Saint-Nazaire qui, avec onze communes, rassemble 151 286 habitants en 2014. Deuxième agglomération du département, elle se situe au 4e rang régional.

Source Wikipedia
Mobirise

Le spectaculaire et élégant pont de Saint-Nazaire enjambe l'estuaire de la Loire pour relier les deux rives.
Avec sa courbe élégante et ses haubans peints en rouge et blanc, le pont de Saint-Nazaire, mis en service le 18 octobre 1975, enjambe les deux rives de l’estuaire de la Loire. C’est l’un des plus grands ponts à haubans d’Europe : il s’élève à 61 m au-dessus du fleuve et s’étire sur 3 356 mètres entre Saint-Brevin et Saint-Nazaire.

L'accès au pont est devenu gratuit par suppression du péage le 1er octobre 1994. Un trottoir de chaque côté permet de le passer à pied.
Beaux points de vue sur le pont depuis Saint-Brevin : place Bougainville à Mindin et passerelle du lazaret de Mindin.

Visite du musée "Escale atlantique"

Des éléments de décoration de nos anciens grands paquebots

Reproduction de l'intérieur des nos anciens grands paquebots

Les chantiers navals
La promenade des Américains

Journée du 6 septembre

Nantes

Les machines
La galerie des machines
La Galerie est un lieu vivant avec la mise en scène d’un véritable bestiaire de machines. C’est un laboratoire où sont testées les machines construites dans l’atelier de la compagnie La Machine.
La visite est rythmée par les interventions des machinistes qui expliquent l’histoire et le fonctionnement de ces étranges créatures. Ils donnent vie au monde imaginaire de l’Arbre aux Hérons, projet majeur des Machines de l’île.
Ces prototypes indispensables aux études de l’Arbre aux Hérons sont implantés dans la Galerie. Une grande maquette au 1/5e de l’assemblage tronc, branches, étais et racines est exposée. Et les premiers éléments de la volière mécanique sont à découvrir : un colibri géant butinant une fleur ainsi qu’un vol d’oies sauvages.
La Galerie des Machines est survolée par un héron de 8 m d’envergure ; une araignée mécanique s’éveille et s’élève sur ses fils ; puis c’est à la fourmi géante de faire son entrée, des végétaux côtoient des plantes mécaniques et des animaux de la canopée… vous pouvez être invités à en prendre les commandes !

Le grand éléphant
12 mètres de haut, 8 mètres de large et 21 mètres de long.
48,4 tonnes d’acier et de bois
(tulipier de Virginie et tilleul)
Carcasse métallique irriguée  par 2 500 litres d’huile hydraulique
Motorisation : système hybride,  traction électrique et batterie.
Vitesse 1 à 3 km à l’heure .
Mise en mouvement par 62 vérins,  dont 46 hydrauliques, 6 pneumatiques et 10 à gaz.
Un salon intérieur  avec portes-fenêtres et balcons. Une terrasse accessible par un escalier. 
3 différents parcours : environ 30 minutes
vidéo "La galerie des machines"
Le château des ducs de bretagne
Implanté dans le cœur historique de Nantes, le Château des ducs de Bretagne est le monument-phare de son patrimoine urbain, avec la Cathédrale Saint-Pierre.
Il a été construit à la fin du 15e siècle par François II, dernier duc de Bretagne, puis par sa fille, Anne de Bretagne, deux fois reine de France.
Un château riche de six siècles d’histoire, qui abrite un palais résidentiel aux façades raffinées avec ses loggias d’esprit Renaissance. De récentes découvertes archéologiques, historiques et architecturales permettent d’aborder différemment l’histoire de ce monument.
Au cœur du quartier médiéval de Nantes, sa cour, ses remparts et ses douves sont accessibles. Place publique, il vous accueille pour un moment de détente ou lors de grands événements culturels.
Construit au 13e siècle sur la muraille gallo-romaine – encore visible – de la cité des Namnètes, le premier château ducal disparaît au 15e siècle pour laisser place à l’actuel monument.
Celui-ci est l’œuvre de François II, dernier duc de la Bretagne indépendante qui veut faire du Château des ducs de Bretagne une forteresse militaire défensive face au pouvoir royal et le lieu de résidence principale de la cour ducale.
Les travaux d’embellissement sont poursuivis par sa fille la duchesse Anne de Bretagne, deux fois reine de France par ses mariages successifs à Charles VIII et Louis XII.
En témoignent différents décors sculptés (lucarnes du Grand Logis, blason, loggias de la tour de la Couronne d’or) marqués par les premières influences de la Renaissance italienne.
Après le rattachement de la Bretagne à la France en 1532, le Château des ducs de Bretagne devient aux 16e et 17e siècles le logis breton des rois de France, puis caserne, arsenal militaire et prison. Il subit pendant trois siècles maintes transformations ainsi que différents dommages : fortifications, incendie en 1670, construction du bâtiment du Harnachement pour le stockage du matériel d’artillerie, explosion en 1800…
Classé Monument historique en 1862, il est vendu par l’Etat à la Ville de Nantes en 1915, avant de devenir également, à partir de 1924, musée municipal. Pendant la seconde guerre mondiale, les troupes d’occupation allemandes y construisent un bunker dans la cour.
Les années 1990 ont été consacrées à la restauration de la tour des Jacobins et des façades du Grand Gouvernement (15e/17e) et de la tour de la Couronne d’Or (15e). Le bâtiment du Harnachement (18e) réaménagé en 1997 a été dédié aux expositions temporaires.
Les années 2000 ont vu la remise en majesté des façades en tuffeau blanc du Grand Logis (15e) les parties les plus anciennes et les plus marquantes de l’édifice, qui apparentent le Château des ducs de Bretagne aux châteaux de la Loire ; la restitution du campanile et des flèches au-dessus de la tour de la Couronne d’or ; l’aménagement intérieur de la totalité de la résidence ducale pour l’installation du musée.
Après quinze ans de travaux et presque trois ans de fermeture totale, le château a rouvert ses portes en 2007 et accueille depuis le musée d’histoire de Nantes. Il n’avait jamais auparavant fait l’objet d’une restauration globale.

Journée du 7 septembre

La Brière

Créé par décret interministériel le 16 octobre 1970, le Parc naturel régional de Brière est situé à quelques kilomètres de l’océan Atlantique, au cœur de la Presqu’île de Guérande. Il s’étend sur 55 000 hectares et 20 communes.
A la recherche permanente d’un équilibre entre développement économique et protection de l’environnement, le Parc se donne pour mission de protéger, valoriser et animer ce territoire.Carte de la Brière .

Le marais de la Brière, paysage d’exception
« C’était bien elle : dix mille hectares de silence et de nudité, un immense lotus bleu épanoui au milieu du cirque de l’atmosphère. » Ainsi s’exprimait Alphonse de Chateaubriant en découvrant la Brière pour la première fois.
Milieu aquatique en constante évolution, les marais de Brière nous ont été transmis grâce au travail de générations de briérons qui y puisaient leurs moyens d’existence et de survie.
Cette zone humide est aujourd’hui recensée parmi les plus riches d’Europe sur le plan biologique. Zone d’étape, site d’hivernage ou lieu de reproduction pour les oiseaux d’eau, le marais de Brière est aussi un site d’une grande richesse floristique et qui possède une grande variété d’espèces aquatiques. On peut citer : la Thorelle (plante aquatique que l’on rencontre uniquement en Brière, dans les Landes de Gascogne et au Portugal), le Scirpe à nombreuses tiges, la Pesse d’eau, le Myriophille ou en encore l’Utriculaire. Parmi les nombreuses espèces d’oiseaux, on rencontre le Râle des genêts, la Gorge bleue, le Combattant varié (la Brière est le seul point de France où il niche), la Barge à queue noire, la Guifette Moustac, la Spatule Blanche…
Les villages de chaumières
« Villages de Brière, quelques maisons sur le bord de la route, d’autres reculées au fond des placis, couvertes de chaume massif dont chaque toiture se soulève au milieu, formant comme l’arc d’un sourcil au-dessus de l’unique lucarne du grenier. » Alphonse de Chateaubriant dans ses carnets de voyage « Au pays de Brière ».
La chaumière, avec sa fourrure de roseaux, constitue une composante fondamentale du paysage briéron dans lequel elle s’est ancrée dès le milieu du XVIIe siècle. Par nécessité, le Briéron s’est fait chaumier. Son travail au répertoire gestuel très large est devenu un art au point de s’élever au rang de « méthode briéronne ». Les chaumiers perpétuent aujourd’hui la tradition et signent d’un savoir-faire séculaire l’architecture originelle de la Brière.
La Brière est la région de France où la densité de chaumières est la plus importante. Les 3000 toits de chaume qui ponctuent le sol de Brière sont autant de témoignages qui sauvent son habitat de la banalisation et affirment ses vraies racines.
La visite des canaux en barque
Le repas de midi
Balade en calèche

Quelques photos de groupe

Contacts

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